Notre Philosophie
Tous les itinéraires proposés ont été longuement préparés. Audrey a reconnu le terrain, rencontré et tissé des liens avec les locaux. On parle d’année(s) pour élaborer un itinéraire : qu’ils soient Géorgiens, Touchs, Svans, Azerbaïdjanais d’origine Lezguienne ou Tat, Abkhazes ou Arméniens, tous les intervenants sont des personnes de confiance avec qui Audrey entretient d’étroites relations. Ils sont devenus des amis ou de proches partenaires. La plupart de ces familles ne sont pas issus de la branche touristique. Ce sont des bergers, paysans, réparateurs, agriculteurs ou coiffeurs de village.
Nous avons une connaissance du terrain, de la langue, des légendes et anciennes traditions païennes et du fonctionnement des sociétés caucasiennes. Malgré les fortes interactions entre les pays du Caucase du sud, leur lien historique et leurs apparentes similitudes ils présentent de nombreuses divergences et disparités. La richesse ethnographique y est étonnante.
La plupart du temps nous restons hors des sentiers battus et privilégions la rencontre avec les autochtones. Nous allouons quelques jours à la découverte du patrimoine culturel pour comprendre le pays à travers son Histoire, son fonctionnement, ses paradoxes et percevoir les particularités des régions, les liens et dissensions, conflits et ruptures, réconciliation et alliance.
Du portage des sacs en rando jusqu’à notre cuisine Bio et locale, nous nous occupons detout dès votre arrivée à Tbilisi pour vous permettre de profiter de votre voyage. Afin de garantir cette rencontre, de préserver l’authenticité de nos séjours et pour des raisons évidentes de logistiques, nous ne prenons que de petits groupes.
Enfin, nous embauchons des locaux, achetons nos produits directement aux autochtones afin de participer au développement microéconomique local.
Nous sommes également engagés dans le tourisme solidaire et participons via la fondation Roddy Scott à l’éducation des enfants Tchéchènes dans la vallée de Pankisi.
Un très gros clin d’œil à Stina Scott et Vladimir Lozinski sans qui l’école n’aurait pas vu le jour.